Un vignoble et une production annuelle de 125 000 bouteilles avec des racines bien québécoises: le Cep d’Argent à Magog

Implanté sur les rives du lac Magog depuis 1986, le vignoble le Cep d'Argent produit aujourd'hui 125 000 bouteilles annuellement à partir de 60 000 plants de vignes.

Le Québec arrive en tête du peloton avec des dépenses de 28 milliards $ en 2005

C’est un record ! Jamais les Québécois n’ont dépensé autant dans le secteur alimentaire. Non seulement sont-ils au-dessus de la moyenne canadienne, mais ils ont dépassé de loin leurs voisins ontariens qui ont enregistré une croissance de 3,1 % en 2005 comparativement à 7 % pour les Québécois durant la même période. Au pays, la hausse fut de 4,5 %.

Une « route de cantine » de 20 000 km pour les Aliments Martel

Raymond Martel était gérant des Restaurants Macy’s de Montréal lorsqu’il décida de se lancer en affaires avec son frère Gilles en 1965. À Saint-Romuald, près de Québec, ils démarrent une « route de cantine » et vendent les produits préparés dans la maison familiale par leur mère sur les chantiers de construction, les usines et autres points ouvriers.

L’industrie bioalimentaire enregistre une croissance de 1 milliard $

Au Québec, l’industrie bioalimentaire occupe une place prépondérante dans chacune des 17 régions. Selon le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ), il s’agit d’un levier économique majeur pour bon nombre de citoyens.

Investissement de 4 M$ dans la construction d’un Centre de transformation de viande

Voici une excellente nouvelle pour les travailleurs du Bas-Saint-Laurent : un Centre de transformation de viande (CTV) sera construit sous peu, à Saint-Gabriel-de-Rimouski, en vue de répondre à la demande de produits frais transformés d’agneau et de bouvillons à divers marchés tels la restauration, l’alimentation et les bouchers indépendants.

Savoir s’adapter aux marchés… même après 100 ans d’existence !

Bien connu dans la région de Québec, l’embouteilleur Alex Coulombe ltée existe depuis 1905. Cette année-là, Édouard Coulombe se lance dans l’embouteillage de « liqueurs », comme on le disait il n’y a pas si longtemps, avec son jeune frère, Alexandre.