Grâce à l’appui financier de la ville de Montréal, STIQ met en place un projet d’accompagnement des PME manufacturières situées sur le territoire de l’île de Montréal, afin de les aider à se doter d’outils et de solutions pour affronter…
Catégorie : STIQ
Gestion des risques et mesures d’urgence à l’heure du Coronavirus
La fermeture temporaire des entreprises engendrée par l’épidémie de COVID-19 a forcé celles-ci à entrer en mode gestion d’urgence et de crise. La majorité des PME y survivra, mais toutes n’auront pas vécu ces temps difficiles de la même façon.…
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Renforcer la culture du partenariat
L’établissement de partenariats avec d’autres organisations est une stratégie de plus en plus envisagée par les PME manufacturières québécoises. La mise en commun de leurs savoir-faire et de leurs complémentarités peut leur permettre, entre autres, de consolider leur positionnement dans…
Pénurie de main-d’œuvre: en moyenne 8 postes à combler dans chaque PME manufacturière
Selon les plus récentes données du Baromètre industriel québécois, la pénurie de main-d’œuvre persiste dans les PME, au point où elle compromet la croissance de certaines d’entre elles. Le nombre de postes à combler représente en moyenne 15 % du nombre total d’employés, variant de 10 % chez les entreprises de 100 à 500 employés à 21 % chez celle de 10 à 19 employés. Les petites entreprises seraient donc doublement plus affectées par la rareté de main-d’œuvre que les plus grandes.
Gala Les Mérites STIQ – L’entrepreneuriat québécois à son meilleur
Montréal – L'association de maillage industriel STIQ a présenté dans le prestigieux édifice Windsor le 28 mars dernier le gala des Mérites STIQ, qui souligne l'excellence d'entreprises manufacturières dans six catégories. Métalus, Styl&Tech, Métal Bernard, Techniprodec et APN Global ont chacune récolté une distinction, tandis qu'ABIPA Canada remportait le grand prix Marius-Fortin soulignant l'excellence de l'ensemble de ses pratiques d'affaires.
Chronique STIQ – Les enjeux de main-d’œuvre dans le secteur manufacturier
La 9e édition du Baromètre industriel québécois de STIQ fait état de nombreux enjeux auxquels sont confrontés les PME manufacturières québécoises. Les plus préoccupants sont liés au recrutement du personnel, celui-ci n’a jamais été aussi important. La situation est critique au point de compromettre la croissance de plusieurs entreprises.
Le train du virage 4.0 est en marche, mais il faut qu’il accélère
La 9e édition du Baromètre industriel québécois de STIQ révèle que près de 76 % des PME manufacturières ont intégré ou prévoient intégrer des technologies numériques. Les entreprises qui ont commencé leur virage vers le 4.0 ont connu une augmentation importante de leur chiffre d’affaires, sont plus nombreuses à vendre à l’international, sont plus compétitives et ont connu une augmentation de leur nombre d’employés.
Être innovant en tant que sous-traitant
L’innovation semble omniprésente dans nos vies, les grandes entreprises technologiques communiquent beaucoup à ce sujet pour valoriser leurs nouveaux produits. Mais qu’en est-il d’une PME qui fabrique des pièces ou des sous-ensembles pour des donneurs d’ordres? En effet, elle ne contrôle pas le produit final et les méthodes de fabrication lui sont souvent imposées par le client. Reste-t-il encore une place à l’innovation pour ces entreprises?
Le train du virage 4.0 est en marche, mais il faut qu’il accélère
Montréal, le 7 mai 2018 - La 9e édition du Baromètre industriel québécois de STIQ révèle que près de 76 % des PME manufacturières ont intégré ou prévoient intégrer des technologies numériques. Les entreprises qui ont commencé leur virage vers le 4.0 ont connu une augmentation importante de leur chiffre d'affaires, sont plus nombreuses à vendre à l'international, sont plus compétitives et ont connu une augmentation de leur nombre d'employés.
L’intelligence de l’usine doit passer avant l’usine intelligente
Les promesses liées à la révolution industrielle 4.0 semblent sans limites, pourtant il ne saurait y avoir de miracle technologique sans une bonne dose de réalisme. Votre entreprise dispose-t-elle d’une base solide avant d’envisager l’implantation de technologies 4.0 ?