Des recherches financées par l’IRSST ont dressé l’état des connaissances portant sur l’audibilité et la localisation auditive des deux grands types d’alarmes de recul (tonale « bip-bip » et à large bande de fréquences « pshit-pshit ») ainsi que sur l’effet du positionnement de ces alarmes sur la distribution sonore à l’arrière des véhicules. « Notre but est de favoriser une utilisation optimale de ces dispositifs et de minimiser les risques d’accident liés au recul des véhicules », explique Hugues Nélisse, chercheur à l’IRSST et auteur principal de l’étude. La vidéo propose quatre recommandations portent sur les conditions idéales d’installation et d’utilisation des alarmes de recul :
« La meilleure prévention des accidents dus aux mouvements de recul demeure de limiter au maximum de telles manœuvres ainsi que de mieux contrôler, par la mise en œuvre de plans de circulation efficaces, la présence de piétons près des véhicules appelés à reculer. Étant donné que l’alarme de recul demeure un moyen largement utilisé pour prévenir les individus se trouvant autour des véhicules de l’existence d’un danger, il faut rendre son utilisation aussi sécuritaire que possible, » conclut Hugues Nélisse. Visionnez la vidéo ci-dessous: