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Feb

Vers une production de café faible en émissions de GES

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Le gouvernement du Québec a accordé, par l’entremise du programme ESSOR, un prêt de 9 millions de dollars à Café William pour soutenir l’implantation d’une usine écoénergétique de production de café à Sherbrooke, en Estrie.

« Café William peut maintenant se targuer d’être l’un des producteurs de café les plus écoénergétiques au monde. Comme gouvernement, nous appuyons les PME qui mettent de l’avant des solutions d’affaires innovantes et écoresponsables pour décarboner notre économie. », a mentionné Christopher Skeete, ministre délégué à l’Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval.

Le ministre délégué à l’Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval, M. Christopher Skeete, en a fait l’annonce aujourd’hui, à l’occasion de l’inauguration des nouvelles installations de l’entreprise.

« Avec cette nouvelle usine, Café William consolide sa place de leader en matière de développement durable dans l’industrie du café. Nous misons sur des entreprises visionnaires comme celle-ci pour assurer la transition énergétique du Québec. », a déclaré André Bachand, député de Richmond.

Le projet, évalué à 47 millions de dollars, visait aussi l’acquisition d’équipements spécialisés et automatisés, dont le premier torréfacteur industriel au monde, qui est 100 % électrique. Ces équipements permettront à l’entreprise de réduire de plus de 90 % ses émissions de gaz à effet de serre (GES) lors de la production de café.

« Cet accomplissement témoigne de notre engagement en faveur de l’innovation et de l’excellence pour notre industrie. C’est pour nous une fierté de pouvoir opérer le premier torréfacteur industriel électrique ici, au Québec. En début d’année, nous avons fait la preuve du concept du transport de notre café par voilier cargo, qui a été un succès. Aujourd’hui, nous ajoutons une autre initiative durable à notre chaîne d’approvisionnement pour réduire l’empreinte écologique de notre café. » a rajouté Rémi Tremblay, président‑directeur général de Café William.

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