Avec la multiplication des sources d’informations, surtout avec le développement de plus en plus tourné vers les réseaux sociaux, l’Agence sept24 mise sur une approche qui offre des services de communication intégrés « avec une approche très marketing », précise son président-directeur général, Louis-Philippe Péloquin.
« Ce sont les entreprises qui nous mandatent pour aider à prendre de la progression aux chapitres de marché visé et de vente, enchaîne M. Péloquin. Nous réalisons beaucoup de recherches qualitatives et quantitatives pour toutes sortes d’activités afin de développer des marques employeurs, notamment dans le secteur manufacturier.
Nous savons qu’il existe des enjeux très importants de recrutement et de positionnement dans ce domaine. Nous développons donc avec les entreprises des façons de faire pour que les gens apprennent à mieux communiquer mieux entre eux et créer des conditions favorables à la rétention. »
Par ailleurs, depuis le mois de septembre dernier, sept24 a aussi développé une expertise en ressources humaines en travaillant avec des personnes qualifiées dans ce domaine afin de développer une marque employeur.
« La force de notre entreprise est d’abord le dynamisme. Nous sommes aussi très créatifs dans les choix que nous faisons parce que le marketing est une fonction qui relève d’une science administrative, une science inexacte à la base et, donc, c’est un monde de choix, ajoute M. Péloquin. Nous sommes donc créatifs afin d’oser faire comprendre au client de prendre un virage ou des nouveaux sentiers qui lui sont parfois méconnus. Cela prend un certain courage. »
Pour y arriver, l’Agence a développé au fil des années une gestion des talents dans le but de déterminer la force de ses employés et de ses collaborateurs. S’ajoute également à cela un défi territorial parce qu’elle possède des clients partout au Québec.
« Cela nous oblige à faire face à ce défi par la mise en place de bureaux satellites, indique le président-directeur général. Nous risquons de concrétiser un important projet de Montréal dès cette année, si tout va bien. Comme la création de la main-d’œuvre peut être plus difficile, nous envisageons d’y aller par le biais de l’acquisition. »
L’objectif est de « devenir le Cossette des Cantons-de-l’Est », conclut-il.