À force de parler de récession, de crise, de réingénierie, d’études de faisabilité, de subventions et j’en passe, on en arrive à oublier l’essentiel.
Ça prend des commandes pour avoir quelque chose à produire pour protéger les emplois des travailleurs, pour attirer les investisseurs et pour y arriver, ça passe par la vente, n’en déplaise à certains qui sont davantage préoccupés par la réduction des coûts et la «structurite», que par les résultats.
Chez les équipes de sport professionnel, on sait qu’il ne faut pas se contenter d’empêcher l’adversaire de compter pour remporter la victoire, mais qu’il faut également compter des buts… et que ça ne s’achète pas.
Les entreprises qui se fient presqu’exclusivement sur la réduction des prix pour remplir leur carnet de commandes font du rattrapage en tentant d’acheter des commandes.
Ça risque, à plus ou moins brève échéance, de les conduire à la faillite, car les coûts de main d’œuvre, de production, de financement, de recherche, de transport et autres, ne diminueront pas pour autant.
D’autre part, celles qui croient qu’en réduisant la publicité et le personnel de vente pour s’en tenir à internet, s’exposent à sombrer dans l’anonymat.
Il n’est pas question, ici, de minimiser l’impact d’internet dans le développement des affaires et la vente, mais il faut réaliser que ça ne fait pas tout et qu’il n’y a pas qu’un seul chemin qui nous mène à Rome.
Dans les domaines industriel, commercial et institutionnel, par exemple, le taux de rotation du personnel qui influence et procède aux achats, est tellement élevé que vos bonnes actions du passé risquent d’être oubliées ou ignorées.
Vous devez donc augmenter le nombre de contacts avec votre clientèle et renouveler constamment votre discours de vente et votre stratégie.
Vous pouvez joindre M. Roger St-Hilaire au (418) 626-7498 ou 1 800 463-7246