D’une part, alors que la période moyenne d’amortissement que l’on retrouve ailleurs sur le marché est de cinq ans, la Laurentienne propose un financement jusqu’à 10 ans, ce qui vient réduire les mensualités du prêt.
Le programme offre de plus un financement qui va au-delà du coût de base de l’équipement acheté. Le Programme manufacturier offre de financer jusqu’à 25 % de plus que le coût de l’équipement, pour permettre aux entreprises d’intégrer au financement les coûts d’installation, de formation du personnel et de l’adaptation technologique qu’entraine inévitablement l’achat de nouveaux équipements.
Finalement, le programme propose une période de moratoire initial pouvant aller jusqu’à 24 mois, durant laquelle l’entreprise n’aura qu’à payer les intérêts courus. Cette période de moratoire permet donc à l’entreprise de procédé à la formation du personnel et aux tests et essais nécessaires pour rendre l’équipement pleinement productif, avant de commencer à rembourser le capital. De plus, durant la période d’amortissement du prêt, l’entreprise pourra opter pour deux périodes additionnelles de six mois de moratoire de capital. Bref, sur un amortissement total maximal de 10 ans, l’entreprise pourra bénéficier de jusqu’à 36 mois de congé de paiements de capital.
« La capacité et la flexibilité d’offrir des programmes de financement comme celui-ci, explique Simon Richard, directeur principal, commercial, à la Banque Laurentienne, réside dans notre capacité à comprendre les actifs. Nous avons développé une expertise basée sur les équipements qui résulte en une solution adaptée à la réalité des entreprises manufacturières. »
Dans le contexte actuel de taux de change défavorable mais d’opportunités d’exportation plus favorables, le Programme manufacturier de la Banque Laurentienne peut être la solution pour demeurer concurrentiel et donner un nouveau souffle à la productivité en entreprise.