Magris Resources Canada Inc. annonce qu’elle a conclu une entente définitive en matière de traque pour acquérir la quasi-totalité des actifs d’Imerys Talc America Inc., d’Imerys Talc Vermont Inc. et d’Imerys Talc Canada Inc. (collectivement appelé la « North American Talc Business ») pour 223 millions de dollars américains.
L’entreprise nord-américaine Talc est le premier producteur de talc en Amérique du Nord, qui est un ingrédient essentiel pour améliorer la performance utilisé dans une variété d’applications industrielles. Ses activités comprennent trois mines à longue durée de vie et six installations de traitement situées aux États-Unis et au Canada.
« Nous sommes ravis d’acquérir l’entreprise nord-américaine Talc, qui repose sur des actifs à long terme de haute qualité qui produisent une variété de produits de talc pour les clients de premier ordre dans divers marchés industriels. Nous avons été extrêmement impressionnés par la culture de qualité et de sécurité des opérations et de la main-d’œuvre, et nous sommes impatients de nous associer à l’équipe de direction existante pour continuer à faire croître cette entreprise », a déclaré Aaron Regent, président et chef de la direction de Magris.
Magris a été fondée en 2012 par Aaron Regent pour acquérir, développer et exploiter des minéraux industriels et des actifs miniers à l’échelle mondiale. Magris possède et exploite Niobec, un producteur québécois de niobium, qui est un élément essentiel utilisé dans la production d’aciers à haute résistance et à faible alliage.
« Nous sommes impatients d’accueillir l’entreprise nord-américaine Talc à la famille Magris. La combinaison de l’entreprise nord-américaine Talc et de nos activités existantes de niobium au Canada représente une occasion unique de réaliser des synergies significatives et de créer une plate-forme de minéraux industriels dans laquelle Magris peut continuer d’investir et d’évoluer », a déclaré Matthew Fenton, président et directeur financier de Magris.
L’entreprise nord-américaine Talc est vendue en vertu d’une procédure intentée par les vendeurs en vertu du chapitre 11 du Code des faillites des États-Unis et de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies. L’entente deviendra pleinement efficace et juridiquement contraignante après que les tribunaux américains et canadiens concernés auront donné l’ordre de l’approuver. La transaction devrait être conclue d’ici la fin de 2020 ou le début de 2021, sous réserve de la réception des approbations réglementaires et d’autres conditions de clôture habituelles.