Les plastiques autolubrifiants présentent donc plusieurs avantages :
Les plastiques autolubrifiants se divisent en deux catégories :
Plusieurs plastiques sont souvent qualifiés d’autolubrifiants, car ils affichent un très faible coefficient de friction. C’est le cas du nylon, de l’acétal, du PETP (polyéthylène téréphtalate), du UHMW-PE et du Téflon® qui, lui-même, est utilisé comme additif pour augmenter l’autolubrification de certains autres matériaux.
Sans additif, tous ces plastiques sont non contaminants, c’est-à-dire qu’ils peuvent être en contact avec les aliments et les environnements sanitaires.
Applications : Engrenage, plaque d’usure, coussinet, joint d’étanchéité, poulie, etc.
Pour augmenter l’autolubrification des plastiques, c’est-à-dire les rendre plus résistants à l’usure, les rendre plus glissants et prolonger leur durée de vie, plusieurs lubrifiants sont ajoutés aux résines de base lors de leur production, ce qui en font des matériaux vraiment autolubrifiants.
Ils font partie de la famille des polymères avec ajout de lubrifiant. Il est important de noter que la plupart des additifs rendent les plastiques inappropriés aux environnements sanitaires, médicaux et alimentaires, à l’exception de certains matériaux, comme le Nyloil® FG dont le lubrifiant utilisé (de l’huile végétale solidifiée) peut être en contact avec les aliments.
Donc, en plus du faible coefficient de friction, le choix du plastique autolubrifiant adéquat repose sur les critères suivants : capacité de charge, température de service, environnement d’utilisation, usinabilité, stabilité dimensionnelle et bien d’autres.
Eric Lachance Groupe PolyAlto 3825, rue Jean-Marchand, Québec Tél. : 418 847-8311 info@polyalto.com