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Jun

La prévention et la sécurité : de si gros mots, mais pourtant si simple!

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Le cariste a une grande responsabilité dans ses actions, il est de son devoir de faire l’inspection de son chariot élévateur avant chaque quart de travail que ce soit pour sa sécurité ou pour celle des travailleurs qui l’entourent.

Cette inspection amène l’opérateur à vérifier le niveau d’huile, les fuites qui peuvent s’être accumulées sous l’unité, les freins, les vignettes de sécurité ou toute avarie qui pourrait nuire au bon fonctionnement du chariot élévateur.

Chaque chariot élévateur doit être muni d’un dispositif de retenue du cariste, tels une ceinture de sécurité, des portes grillagées, une cabine fermée, un siège enrobant ou à oreilles, afin d’éviter que le cariste ne soit écrasé par la structure du chariot élévateur en cas de renversement.

Bien entendu, le dispositif choisi doit être maintenu en bon état et bien utilisé. Sur le toit protecteur, il doit toujours y avoir une vignette qui explique ce que l’opérateur doit faire si le chariot élévateur tend à se renverser lors d’un virage trop rapide. Ne jamais tenter de sauter!

Toutes modifications faites sur le chariot élévateur qui ne sont pas approuvées par le fabricant ou par un ingénieur certifié sont illégales. La plaque signalétique est obligatoire. Elle doit être visible et lisible. Elle doit comporter le modèle et le numéro de série du chariot, son poids et sa capacité. Les opérateurs formés prennent en compte les données de la plaque lors du soulèvement d’une charge.

Pour 10 minutes d’inspection, le cariste rend l’environnement de travail sécuritaire et peut sauver des vies.

Soyez prudent !

Anne-Marie Plante, Paul Marcotte, Les Chariots Élévateurs du Québec Inc. Tél. : 1 800 463-5118 info@cequinc.ca

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