Plus de 1 500 participants et membres de l’industrie de la logistique ainsi que du transport maritime, routier, ferroviaire et aérien ont convergé vers le Quai Alexandra situé dans le Vieux-Montréal afin de découvrir les centaines de postes actuellement disponibles au sein de l’industrie du transport et de la logistique.
« La croissance du commerce international ne peut qu’accentuer l’essor du secteur de la logistique au Québec. En plus des possibilités de carrières intéressantes qu’elle génère, cette expansion permet de tirer profit au maximum de notre situation géographique privilégiée qui offre un accès unique et direct au cœur du continent, et ce, en toutes saisons », a déclaré le ministre Jean D’Amour.
« Cette 2e édition s’est révélée un franc succès », a indiqué Mathieu Charbonneau, directeur général de CargoM. « Les candidats intéressés ont eu l’occasion de connecter avec plusieurs employeurs de choix à la recherche de travailleurs spécialisés. Nous devons nous assurer d’avoir en place les programmes de formation ainsi que les mécanismes nécessaires afin d’attirer la prochaine génération de travailleurs de manière à permettre aux entreprises de poursuivre leur croissance et de continuer à contribuer à l’essor économique du Québec », ajoute Mathieu Charbonneau.
L’industrie du transport des marchandises et de la logistique offre plusieurs carrières intéressantes pour les nouveaux diplômés ainsi que pour les travailleurs expérimentés à la recherche d’un nouveau défi. Les besoins en main-d’œuvre s’accentueront au cours des prochaines années alors que plusieurs travailleurs prendront leur retraite. Le directeur général de CargoM reconnaît qu’avec le taux de chômage très bas au Québec, le recrutement dans l’industrie du transport et de la logistique constitue de plus en plus un défi de taille.
« Notre objectif est de faire connaître l’ensemble des métiers et carrières de l’industrie du transport, tous modes confondus. L’industrie a une image très vieux jeu, peu technologique. Pourtant, ce sont des emplois bien payés, mais aussi innovants, où les jeunes peuvent être partie prenante, avec plusieurs défis, et ça, ce n’est peut-être pas assez connu. Il faut continuer de faire cette promotion. »