Les travaux seront réalisés par le Conseil national de recherches du Canada (CNRC) et Alcoa Innovation. Afin de réaliser ces travaux d’envergure, Arianne pourra compter sur des aides financières confirmées du Centre québécois de recherche et de développement de l’aluminium (CQRDA) et de la Société de la vallée de l’Aluminium (SVA).
Grâce à cet effort, Arianne et ses partenaires croient qu’ils seront en mesure de réduire le poids des camions de transport et d’augmenter la charge utile par trajet. Une fois intégré, cela se traduira par moins de camions sur la route; augmentant la sécurité et réduisant l’impact global sur l’environnement. Ces efforts entraîneront également de plus grandes économies, entraînant une réduction du coût du concentré de phosphate d’Arianne.
« Nous sommes très heureux de pouvoir lancer cette de phase de recherche et développement pour le design des remorques avec des partenaires aussi qualifiés que le CNRC et Alcoa Innovation. De plus, nous pouvons compter sur une aide financière précieuse de deux partenaires régionaux, ce qui démontre la volonté des parties prenantes de voir le projet avancer. Cette phase de recherche et développement se fera de concert avec notre transporteur désigné, Groupe Alfred Boivin, qui apporte leur précieuse expertise de transport à la table. Nous croyons que l’intégration de l’aluminium dans la remorque permettra une économie de coût substantielle sur la durée de la mine et réduira nos émissions de gaz à effet de serre. », a déclaré Jean-Sébastien David, Chef des opérations d’Arianne Phosphate.
En plus de cette initiative, Arianne continue de travailler en étroite collaboration avec de nombreux groupes pour faire avancer et optimiser son projet du Lac à Paul. Déjà considéré comme l’un des développements de phosphate les plus importants et les plus compétitifs au monde, la Société continue de chercher des moyens d’optimiser son projet et de réduire davantage son empreinte écologique et ses coûts.
Arianne Phosphate (« Arianne Phosphate inc. ») (www.arianne-inc.com) mets en valeur les gisements de phosphate du projet Lac à Paul, à environ 200 km au nord de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean au Québec (Canada). Ces gisements produiront un concentré d’apatite ignée de grande qualité titrant 39 % P2O5 et contenant peu ou pas de contaminants. La Société compte 103 570 610 actions en circulation.