C’est connu : l’expertise et le savoir-faire sont de véritables ressources pour le Québec et c’est d’autant plus vrai pour nos entreprises situées en région. À nouveau, cette année, le Groupe Pageau poursuivra son travail sur le terrain et prendra…
Mois : février 2018
Équipements de découpe au plasma – Précision de coupe et productivité améliorées
Les tables de découpe au plasma sont devenues monnaie courante dans l’industrie de la métallurgie et les centres d’usinage. Toute entreprise qui se respecte possède un équipement semblable pour les besoins en coupage de métaux. Ces équipements automatisés font sans cesse l’objet d’améliorations autant du côté des tables que des consoles de commande. Tout en permettant d’augmenter la vitesse et la qualité de coupe et de réduire les coûts des consommables, ces engins possèdent une haute précision qui surpasse parfois dans certaines applications d’autres procédés de coupe métallurgique.
Visite Expo Entrepreneurs 2018 – Groupe Pageau était sur place!
Place Bonaventure accueillait les 24 et 25 janvier dernier, la toute première édition de l’Expo Entrepreneurs qui se veut être un rassemblement destiné à l’entrepreneuriat au Québec. L’événement a pour objectif de renforcer l’écosystème entrepreneurial au Québec en réunissant sous un même toit des entrepreneurs de tous les horizons ainsi que des acteurs travaillant à leur succès.
Santé et sécurité du travail – Comment faire de l’inspecteur un allié plutôt qu’un ennemi?
C’est un fait. Que ce soit dans les secteurs de la construction, de la fabrication ou des mines, un inspecteur est souvent perçu comme un agent de police. Plusieurs s’inquiètent lors d’une visite. Va-t-il prendre en défaut l’employeur et les employés ? Est-ce que la production va s’arrêter en raison d’une non-conformité ? L’entreprise devra-t-elle investir davantage pour être en règle avec tous les règlements ? Voilà autant de questions soulevées et c’est la raison pour laquelle la visite d’un inspecteur est plutôt mal vue.
GES: une approche québécoise plus rigoureuse, mais des cibles loin d’être atteintes
2013, le Québec se joint à la Californie pour mettre en place le marché du carbone. Trois ans plus tard, le gouvernement fédéral annonce lui aussi un plan canadien de lutte contre les changements climatiques. Même si l'objectif est le même pour les deux systèmes soit, réduire l'émission de gaz à effet de serre (GES), les deux approches ne sont pas identiques. Le centre interuniversitaire de recherche en analyse des organisations (CIRANO) les a analysé afin de déterminer lequel était le plus efficace pour réduire les GES. Sa conclusion, l'approche québécoise est plus rigoureuse.
Les «Cleantechs» génèrent des revenus annuels supérieurs à 1 milliard $ – Ce secteur offre d’importantes occasions d’affaires au Québec
Les entreprises vouées aux technologies propres répondent aux besoins et aux défis des secteurs traditionnels, et le Québec n’en fait pas exception, selon les résultats du sondage de la firme Ernst & Young (EY) dévoilé le 17 janvier dernier. Ces technologies propres québécoises, mieux connues sous le nom de « cleantech », génèrent des revenus annuels supérieurs à 1 milliard $ au Québec et peuvent attirer des investissements en recherche et développement (R.-D.) de l’ordre de 300 millions $.
Traçabilité des produits – L’intégration de la blockchain à la traçabilité: une technologie à l’épreuve complète des fraudes informatiques
Encore quelques années et il sera impossible pour un pirate informatique de modifier ou effacer les données d’un contenu sur Internet dans tous les secteurs d’activités. Au Québec comme ailleurs dans le monde, on travaille très fort en recherche et développement pour mettre au monde les premières structures de la blockchain, un incontournable pour assurer la pérennité de la sécurité informatique aussi bien dans les industries, les géants du détail que les professionnels en affaires.
L’usine connectée – Pour une transition réussie
La 4e révolution industrielle, celle de la fabrication intelligente et numérique, s’installe inévitablement à nos portes; mais comment prendre le bateau sans échouer? En effet, le développement spectaculaire de l’industrie 4.0 partout à travers le monde presse le dirigeant manufacturier de revoir dès à présent son modèle d’affaires s’il ne veut pas se faire doubler. Heureusement, la numérisation s’adapte à toute forme d’installation et peut s’implanter de façon progressive. Et dans ce processus, la main-d’oeuvre ne chôme pas et doit « se brancher » rapidement si on veut se rendre à bon port.
L’intelligence de l’usine doit passer avant l’usine intelligente
Les promesses liées à la révolution industrielle 4.0 semblent sans limites, pourtant il ne saurait y avoir de miracle technologique sans une bonne dose de réalisme. Votre entreprise dispose-t-elle d’une base solide avant d’envisager l’implantation de technologies 4.0 ?
Technîles – Un bel exemple de continuité
Depuis plusieurs mois, les différents intervenants économiques font état d’un manque criant de relève dans presque tous les secteurs d’activités. La main-d’œuvre spécialisée ne frappe pas aux portes et les dirigeants d’entreprises, vieillissants, n’ont pas de solution pour assurer la continuité des activités.